En effet, au fil des années, l’ARS a appliqué les directives gouvernementales au nom d’une seule logique comptable et l’hôpital Pasteur a été méthodiquement privé de ses possibilités de remplir sa mission auprès des patients (fermeture de lits, de services, de postes) jusqu’à la l’arrêt le 1er avril dernier de la chirurgie conventionnelle et d’urgence.