En effet, dans le premier trimestre 2022, nous risquons fort de perdre la chirurgie conventionnelle et la chirurgie d’urgence. Les Dolois, et au-delà les habitants du pays Dolois, ne seront plus sur un pied d’égalité en matière de prise en charge du soin et du traitement de l’urgence. De quoi rendre Dole moins attractive.