Nous avons mal à notre ville !
Dole est appréciée pour sa quiétude, ce qui participe à son charme. Les Dolois y vivent en paix et les violences aux personnes y sont peu répandues.
Nous avons mal à notre ville !
Dole est appréciée pour sa quiétude, ce qui participe à son charme. Les Dolois y vivent en paix et les violences aux personnes y sont peu répandues.
![]() |
![]() |
COMMUNIQUE DE PRESSE
du 7 mars 2021
Aujourd'hui, 70 conseils municipaux de communes du bassin dolois, toutes appartenances politiques confondues, ont voté à l'unanimité une motion de soutien à l'hôpital de Dole.
Chaque citoyen, acteur de demain. Ces deux dernières années, nous avons multiplié les échanges avec les Dolois à travers diverses actions. Les cafés des élus organisés dans les quartiers, ont créé des échanges de proximité permettant de recueillir préoccupations, besoins et aspirations des habitants. Des rencontres avec des associations locales, des élus d’autres collectivités et des experts sur des thèmes spécifiques ont enrichi cette démarche. Les visites d’organismes liés à la collectivité ont également permis de mieux comprendre les enjeux locaux, tandis que des formations ont renforcé nos compétences. Parce que les habitants ont l’xpérience de leur ville et que l’intelligence collective est une force, nous avons lancé, le samedi 18 janvier, un cycle d’ateliers participatifs. Ceux-ci visent à approfondir plusieurs thèmes clés, à construire une réflexion commune et à élaborer une vision partagée de l’avenir de notre ville. Cette approche participative traduit notre volonté d’impliquer pleinement chaque citoyen, en le rendant partie prenante de ce projet commun au sein du collectif « Dole, naturellement ! » Prochaine date : 24 mai /14h30-17h30 /salle Malet
Nous aurions pu écrire que cette année vos impôts locaux et taxe d’ordures ménagères vont augmenter.
En effet, au fil des années, l’ARS a appliqué les directives gouvernementales au nom d’une seule logique comptable et l’hôpital Pasteur a été méthodiquement privé de ses possibilités de remplir sa mission auprès des patients (fermeture de lits, de services, de postes) jusqu’à la l’arrêt le 1er avril dernier de la chirurgie conventionnelle et d’urgence.